Ecriture
Mon parcours littéraire
J’ai toujours eu la plume facile et plutôt bavarde. Grand bien me fasse, car cette dernière a été si salvatrice lors des premiers pas de mon adolescence, qui ont été marquants et essentiels pour la suite de mes histoires à raconter. Cette période fertile, porteuse d’une oscillation, alliant la sensation d’être une fleur de peau et une terre volcanique en même temps !
J’aurais tant à vous dire sur les allers-retours incessants des lettres et des mots qui ont bercé ma vie d’auteure, mais je tenterai de garder le fil, question de m’introduire simplement et pour faire plus ample connaissance, de vous jusqu’à moi.
Me voici, dans les grandes lignes de mon discret parcours d’auteure.
Premier couplet
Parolière
Coriace
J’ai tout enfoui, je suis coriace
Je me suis construit une carapace
Je suis comme la rivière lorsque l’hiver s’endort
Avec un cœur de glace froid comme le nord…
Vous qui méprisez…
Méprisez mes tourments
Vous n’avez rien compris, non…
Je ne suis que du vent
Vous ne vous moquerez plus
Des douleurs qui me hantent
Vous tous qui condamnez mon silence…
Emportez-moi… écoutez-moi… entendez-moi…
J’ai le cœur qui pleure et qui hurle de douleur
(…)
Paroles : Katia-Anne Veilleux et Bruno Pelletier
Musique : Bruno Pelletier, Guy Tourville et Martin Bachand
En 1996, j’ai obtenu un diplôme d’études collégiales en littérature. Au fil du temps, je me suis découvert une passion pour l’écriture de paroles de chansons et je rêvais tout haut d’écrire les textes pour les plus grands chanteurs et chanteuses québécois.es. Sans connaître quiconque de ce grand monde des artistes, à force d’audace et de persévérance, j’ai réussi à me tailler une petite place en saisissant les différentes opportunités afin de laisser une empreinte de moi en tant que parolière.
C’est en 1997 que j’ai eu le bonheur et l’honneur de collaborer au texte de la chanson à succès Coriace interprété par Bruno Pelletier sur son album Miserere. Cette rencontre artistique serait plutôt longue à raconter, mais pour la version abrégée, je vous dirais que sans trop en être consciente, ma première ébauche est venue toucher Bruno Pelletier, car celle-ci lui rappelait son père. Avec le temps, nous avons peaufiné ensemble le texte afin de bien servir l’histoire à raconter.
Par la suite, j’ai collaboré à de multiples projets pour des artistes de la relève, dont la chanteuse Guylaine Tanguay, qui en était à ses premiers pas. J’ai eu la chance d’écrire la chanson qui s’est avérée devenir la chanson titre de son album Sur ce Parchemin paru en 1998.
À travers les rencontres, j’ai eu la chance de participer à l’écriture d’un album par le biais d’un soutien à un artiste de la relève. Au fil du temps, j’ai contribué à plus d’une dizaine de chansons parues sur des albums d’artistes québécois, dont Matt Laurent, Serge Leduc, Sylvain Michel, Jenni M, Martin Giroux et Sylvain Bédard.
Second couplet
Auteure
Chemin faisant, j’ai emprunté de nouveaux sentiers de prose en multipliant les retraites fermées, qui m’offraient le silence en majuscules. C’est de cette façon que j’ai commencé à écrire des réflexions de tous genres, que j’ai publiées à compte d’auteure avec les éditions Sur la pointe des pieds. Avec le temps, je me suis découvert une fascination pour l’être humain et ses comportements en société. L’aspect psychologique, philosophique, social et créatif a toujours attisé mon œil d’auteure.
Je vous invite donc à plonger dans mon univers créateur. Vous serez conviés à voyager à travers mes réflexions à la fois porteuses de célébrations, d’affranchissement et de profondes discussions entre le cœur et l’ego, afin d’ouvrir une première porte, de moi jusqu’à vous.
Je vous offre ici gracieusement des extraits de mes deux publications. Vous avez aussi la chance de découvrir une de mes réflexions chaque fois que vous venez visiter la page d’accueil de mon site web. Si vous désirez vous procurer l’une ou l’autre de mes publications, vous pouvez me rejoindre via mon formulaire de contact.
Brèves réflexions en quête de vérité
Les rêves prennent souvent forme lorsqu’ils ne deviennent plus essentiels.
Le plus grand défi est souvent d’ouvrir une première porte. L’amorce inspire la continuité.
Ceux qui cherchent le bonheur sont souvent pressés par le temps. Ceux qui le savourent en oublient les heures.
Lorsqu’on se donne la possibilité de se tromper, on s’ouvre soudainement toutes les portes.
Brèves rencontres côté coeur, coté cour
Il n’y a pas de rêve trop grand, seulement des échelles trop petites.
On cherche dans bien des directions avant même de penser à regarder… en dedans.
Être libre, c’est prendre la responsabilité de choisir.
La ligne est bien mince entre le fait de provoquer les événements et le fait de nous acharner sur ce pour quoi nous ne pouvons rien.
Bocal de réflexions
À la demande générale, je vous offre aussi l’opportunité de vous procurer un bocal de réflexions avec des extraits de mes deux livres, afin de pouvoir en piger selon la synchronicité du moment.
Troisieme couplet
Rédactrice web
En 2009, j’ai travaillé en collaboration avec Louise Bélanger pour son site web LB Signature, afin de rédiger une grande partie des textes dans le but de promouvoir ses services de stylisme.
Depuis 2016, je suis de plus en plus interpellée par la venue des blogues et des différents sujets à développer à travers cette plateforme, qui propose des avenues littéraires de tous genres. Je me suis commise en publiant cet article de blogue, que j’avais proposé par le biais de l’application WIM (Women in mind).
Je songe de plus en plus sérieusement à offrir une plateforme via mon site, pour vous partager mes humeurs, mes découvertes et mes questionnements perpétuels dans un heureux équilibre de profondeur et de légèreté. D’ici là, je vous invite à parcourir ce court voyage en compagnie de mon fleuve adoré et fidèle comparse, toujours porteur de bonnes nouvelles et de réconciliation.
Le fleuve dans mes veines
« Tout cela s’est produit en 2011, juste à l’aube de mes 40 ans. Il arrive parfois que nous soyons les premiers à nous surprendre à emprunter des chemins qu’on n’aurait jamais pu soupçonner… » (Lire la suite sur le blogue Women in Mind)